L'Art en chemin 2015 a pour thème : "Tour(s) et détour(s)".
Les plasticiens qui accompagnent cette démarche sont :
Alexy-D
Balsan Natalie
Blanpain Jacques
Bourcey Christine
Cairoli Yves
Chaix
Challe Daniel
Cock Louisa
Labejof Alex
Noppe Patrick
Schneider Jean-Pierre
Les plasticiens qui accompagnent cette démarche sont :
Alexy-D
Balsan Natalie
Blanpain Jacques
Bourcey Christine
Cairoli Yves
Chaix
Challe Daniel
Cock Louisa
Labejof Alex
Noppe Patrick
Schneider Jean-Pierre
Alexy-D
Né à Thiers en 1956, Alexy a vécu son enfance et
adolescence dans un milieu rural. C’est vers l’âge de 14 ans qu’il s’est
intéressé à la photographie avec la découverte d’un vieil appareil
photographique abandonné. Mais c’est autour de la quarantaine qu’il a eu l’envie d’assumer une démarche
artistique avec un intérêt croissant pour une photographie couleur partagée
entre géométrie et abstraction.
Cette recherche lui semblait cohérente avec son intérêt de toujours pour les sagesses orientales de l’hindouisme et du bouddhisme, et sa lecture des penseurs de l’Inde contemporaine. S’ajoutait à cela, pense-t-il, l’influence de la poésie Parnassienne très évocatrice d’images. La prise de vue est devenu pour lui en quelque sorte une déclinaison particulière du yoga où l’image du réel serait saisie dans une sorte de reconnaissance irrépressible de soi.
Ainsi, que l’image soit une abstraction ou un simple paysage, Alexy présente ses photographies sans titre, laissant aux regards toute latitude de silence ou d’interprétation. Ses images, argentiques, ne sont jamais recadrées ni retouchées. Elles sont pour l’essentiel tirées par Roland DUFAU, le maître parisien du Cibachrome… une technique qui connaît ses derniers jours puisque le papier n’est hélas à présent plus fabriqué.
Site internet : http://www.alexy-d.com/
Cette recherche lui semblait cohérente avec son intérêt de toujours pour les sagesses orientales de l’hindouisme et du bouddhisme, et sa lecture des penseurs de l’Inde contemporaine. S’ajoutait à cela, pense-t-il, l’influence de la poésie Parnassienne très évocatrice d’images. La prise de vue est devenu pour lui en quelque sorte une déclinaison particulière du yoga où l’image du réel serait saisie dans une sorte de reconnaissance irrépressible de soi.
Ainsi, que l’image soit une abstraction ou un simple paysage, Alexy présente ses photographies sans titre, laissant aux regards toute latitude de silence ou d’interprétation. Ses images, argentiques, ne sont jamais recadrées ni retouchées. Elles sont pour l’essentiel tirées par Roland DUFAU, le maître parisien du Cibachrome… une technique qui connaît ses derniers jours puisque le papier n’est hélas à présent plus fabriqué.
Site internet : http://www.alexy-d.com/
Natalie Balsan
Natalie Balsan est entrée en dessin, peinture, gravure à 50 ans, après avoir traversé les chemins de sa vie.
Elle vit et travaille à Sartène, en Corse du Sud.
Site internet : http://www.nataliebalsan.com/
Elle vit et travaille à Sartène, en Corse du Sud.
Site internet : http://www.nataliebalsan.com/
Jacques Blanpain
Initié aux Beaux Arts et aux Arts Décos., après des tours et des détours dans des pratiques créatives et l’enseignement, Jacques Blanpain peint, dessine, illustre, assemble, expose.
Il travaille sur le geste, noue des liens/itinéraires, crée des déséquilibres, trace à l’encre de Chine ou à la peinture noire ou sanguine des signes sur des toiles écrues.
Autres réalisations : peintures, illustrations de livres de jeunesse, illustrations, dessins de presse, affiches culturelles.
Site internet : http://www.jacquesblanpain.com/
Le parcours se trace sur les pierres par des liens/itinéraires. Les noeuds offrent des changements de direction. Le parcours se pose sur le sol par des liens/itinéraires qui relient les pierres/balises les unes aux autres. Les parcours sont fragiles, instables, confus… ils permettent de se perdre. |
Christine Bourcey
Christine Bourcey est peintre et sculpteur.
Formée à l’ESAG : École supérieure d’Arts Graphiques de Paris (Penninghen), elle est titulaire d’une Licence et d’un Capes d’Arts Plastiques.
Parallèlement à son enseignement artistique, elle s’est toujours consacrée à ses créations personnelles (peinture, sculpture) et à ses expositions en France et à l’étranger.
Ses nombreux voyages en Afrique et en Asie ont fortement nourri son inspiration.
Expositions à Paris et Régions, Barcelone, Shangaï, Moscou, Saint Pétersbourg, Dubaï, Bratislava, New York.
Site internet : http://www.christine-bourcey.com/
Formée à l’ESAG : École supérieure d’Arts Graphiques de Paris (Penninghen), elle est titulaire d’une Licence et d’un Capes d’Arts Plastiques.
Parallèlement à son enseignement artistique, elle s’est toujours consacrée à ses créations personnelles (peinture, sculpture) et à ses expositions en France et à l’étranger.
Ses nombreux voyages en Afrique et en Asie ont fortement nourri son inspiration.
Expositions à Paris et Régions, Barcelone, Shangaï, Moscou, Saint Pétersbourg, Dubaï, Bratislava, New York.
Site internet : http://www.christine-bourcey.com/
"GRENIERS ESSENTIELS"
Tours et détours, chemin de vie, dix fois tombé, dix fois relevé, l'Homme y progresse et s'y épure jusqu'à trouver ses greniers essentiels. Sculpture en grès cuit patiné et bois - Hauteur 2,40 m, Profondeur 7 m, Largeur 4 m. Cette oeuvre appartient à un ensemble de sculptures en grès cuit patiné, bois, métal et bronze, intitulé "Petit peuple d'ici et d'ailleurs" visible sur le site : www.christine-bourcey.com |
Yves Cairoli
En vingt-sept ans de peinture, Yves Cairoli a traversé différents mouvements.
Yves Cairoli est un autodidacte qui voyage derrière les masques des humains.
Parti du figuratif pour passer par le surréalisme, via l'onirique, il a bifurqué un moment vers les abstractions lyriques, pour aller vers l'art brut, avec un mélange d'art mécanique. Artiste plasticien, il a exploité toutes les frontières entre le monde organique et le monde virtuel. Ses œuvres évoluent, deviennent plus libres, à la fois curieuses et surprenantes.
Peintre depuis sa plus tendre enfance, le professeur de français Yves Cairoli vit intensément sa peinture. Et c'est dans l'être humain qu'il puise son inspiration, « L'homme se cache derrière plusieurs masques. Et je les enlève au fur et à mesure que je peins » précise l'artiste, affirmant que nous sommes tous des robots, sans le savoir. D'ailleurs on trouve dans ses toiles beaucoup d'objets évoquant l'homme dans la vie actuelle.
Bref, un vrai dialogue qui se lit aisément, une retranscription dans laquelle le peintre excelle.
Yves Cairoli, originaire du Nord, est membre des Artistes douaisiens. Connues et reconnues, ses œuvres interpellent le visiteur lors des expositions
Yves Cairoli est un autodidacte qui voyage derrière les masques des humains.
Parti du figuratif pour passer par le surréalisme, via l'onirique, il a bifurqué un moment vers les abstractions lyriques, pour aller vers l'art brut, avec un mélange d'art mécanique. Artiste plasticien, il a exploité toutes les frontières entre le monde organique et le monde virtuel. Ses œuvres évoluent, deviennent plus libres, à la fois curieuses et surprenantes.
Peintre depuis sa plus tendre enfance, le professeur de français Yves Cairoli vit intensément sa peinture. Et c'est dans l'être humain qu'il puise son inspiration, « L'homme se cache derrière plusieurs masques. Et je les enlève au fur et à mesure que je peins » précise l'artiste, affirmant que nous sommes tous des robots, sans le savoir. D'ailleurs on trouve dans ses toiles beaucoup d'objets évoquant l'homme dans la vie actuelle.
Bref, un vrai dialogue qui se lit aisément, une retranscription dans laquelle le peintre excelle.
Yves Cairoli, originaire du Nord, est membre des Artistes douaisiens. Connues et reconnues, ses œuvres interpellent le visiteur lors des expositions
Chaix
Chaix est légufrulabélosophe (de Légufrux : vitamines ; Label : étiquette ; Sophia : sagesse)
Cette discipline vise à circonvenir la sagesse par le truchement d'une industrie à base d'étiquettes de fruits et d'étiquettes de légumes acquises de façon subreptice.
Assise sur les vertus cumulées du marketing agroalimentaire, du vol en série et de l'aspiration démiurgique, la légufrulabélosophie est une discipline exigeante.
Nourrie de constance et de détermination, elle offre un dérivatif salutaire au kleptomane compulsif en même temps qu'elle ouvre un boulevard fertile à l'imagination du pèlerin dilettante.
Le credo bâtisseur, le modus operandi et les implications séditieuses de cette praxis border line font l'objet d'un manifeste romancé, explicitement intitulé Chaix et les étiquettes et son appendice méthodologique Légufrux Universalis, précis de légufrulabélosophie.
Site internet : http://www.chaix-et-les-etiquettes.com/
Chaix, l'artiste aux étiquettes de fruits
Le Parisien | 09 Mars 2013
"… Cet ancien journaliste de 50 ans a donné un nom à cette discipline inédite : la légufrulabélosophie, mot dérivé de la légufrulabélophilie, qui désigne les collectionneurs d'étiquettes de fruits et légumes.
Pour l'artiste, tout commence avec la « récolte », chaque matin. Il peut ainsi ramener 500 marques autocollantes. L'après-midi, Chaix range ce qu'il appelle son « herbier ». Des dizaines de parapheurs où les étiquettes sont classées par marques et par couleurs. « C'est comme la palette d'un peintre, explique l'intéressé ». Ses œuvres peuvent être figuratives ou abstraites, mais toujours colorées et d'une impressionnante minutie. Chaque tableau nécessite jusqu'à 4000 étiquettes et une quarantaine d'heures de travail. Et parfois beaucoup plus, comme la gigantesque fresque de 21 m de long, exposée à la mairie de Puteaux. Ou encore le puzzle composé d'une trentaine de pièces de couleurs différentes, elles-mêmes conçues à partir de centaines d'étiquettes. « C'est un art totalement addictif », reconnaît Chaix dans un sourire, ajoutant qu'il a écrit un « manifeste romancé », disponible sur son site Internet, intitulé "Chaix et les étiquettes", à la fin duquel son personnage termine à l'asile! "
Cette discipline vise à circonvenir la sagesse par le truchement d'une industrie à base d'étiquettes de fruits et d'étiquettes de légumes acquises de façon subreptice.
Assise sur les vertus cumulées du marketing agroalimentaire, du vol en série et de l'aspiration démiurgique, la légufrulabélosophie est une discipline exigeante.
Nourrie de constance et de détermination, elle offre un dérivatif salutaire au kleptomane compulsif en même temps qu'elle ouvre un boulevard fertile à l'imagination du pèlerin dilettante.
Le credo bâtisseur, le modus operandi et les implications séditieuses de cette praxis border line font l'objet d'un manifeste romancé, explicitement intitulé Chaix et les étiquettes et son appendice méthodologique Légufrux Universalis, précis de légufrulabélosophie.
Site internet : http://www.chaix-et-les-etiquettes.com/
Chaix, l'artiste aux étiquettes de fruits
Le Parisien | 09 Mars 2013
"… Cet ancien journaliste de 50 ans a donné un nom à cette discipline inédite : la légufrulabélosophie, mot dérivé de la légufrulabélophilie, qui désigne les collectionneurs d'étiquettes de fruits et légumes.
Pour l'artiste, tout commence avec la « récolte », chaque matin. Il peut ainsi ramener 500 marques autocollantes. L'après-midi, Chaix range ce qu'il appelle son « herbier ». Des dizaines de parapheurs où les étiquettes sont classées par marques et par couleurs. « C'est comme la palette d'un peintre, explique l'intéressé ». Ses œuvres peuvent être figuratives ou abstraites, mais toujours colorées et d'une impressionnante minutie. Chaque tableau nécessite jusqu'à 4000 étiquettes et une quarantaine d'heures de travail. Et parfois beaucoup plus, comme la gigantesque fresque de 21 m de long, exposée à la mairie de Puteaux. Ou encore le puzzle composé d'une trentaine de pièces de couleurs différentes, elles-mêmes conçues à partir de centaines d'étiquettes. « C'est un art totalement addictif », reconnaît Chaix dans un sourire, ajoutant qu'il a écrit un « manifeste romancé », disponible sur son site Internet, intitulé "Chaix et les étiquettes", à la fin duquel son personnage termine à l'asile! "
Daniel Challe
Né en 1961 en Haute-Savoie, Daniel Challe explore série après série son rapport au paysage, à la figure humaine et animale, au langage poétique de la photographie. Son travail se construit dans une approche lente de la géographie sensible des lieux qu’il affectionne : le jardin, la montagne, les forêts, les rivières, les bords de mer et d’Océan, l’île. Adepte d’une photographie directe, le photographe aime marcher dans les paysages, s’imprégner des motifs de la nature pour fabriquer patiemment les livres et les tirages photographiques qui traduisent la poésie silencieuse de ses expériences du monde. d’Ermenonville, Oise, 2011
Site internet : http://www.danielchalle.com/
Photographie de Daniel Challe extraite de Paysages de l’âme, Jean-Jacques Rousseau dans la nature
Chez Jean-Jacques Rousseau l’écriture naît de la promenade, au milieu des rochers et des bois, des montagnes et des lacs. Tout au long des Confessions et des Rêveries, la question du regard est omniprésente. Regard intérieur, tourné vers soi, et regard extérieur qui rencontrent comme une « matière de rêve » le paysage. Rousseau aurait-il aimé la photographie qui naît une quarantaine d’années après sa mort ? Aurait-il pratiqué cette forme d’écriture dans la Nature, en plein air, avec la lumière, dont Nicéphore Niepce fut le génial inventeur ?
Cheminant en pays rousseauiste avec sa chambre photographique, le photographe Daniel Challe s’est attaché au fil de ses promenades à dessiner un écheveau secret tissant une constellation géographique affective : celle qui relie les paysages du Val-de-Travers en Suisse aux sous-bois d’Ermenonville dans l’Oise, les massifs montagneux de la Chartreuse et du Valais aux vallons de Maubec, les miroitements des rivages des lacs alpins au jardin des Charmettes. Le regard fondateur de Rousseau sur le paysage est interrogé sur ses deux versants : esthétique à travers des réminiscences de la peinture française, éthique dans son questionnement très contemporain sur notre rapport à la Nature.
Dans le cadre d’une résidence d’artiste soutenue par Diaphane, pôle photographique en Picardie
Site internet : http://www.danielchalle.com/
Photographie de Daniel Challe extraite de Paysages de l’âme, Jean-Jacques Rousseau dans la nature
Chez Jean-Jacques Rousseau l’écriture naît de la promenade, au milieu des rochers et des bois, des montagnes et des lacs. Tout au long des Confessions et des Rêveries, la question du regard est omniprésente. Regard intérieur, tourné vers soi, et regard extérieur qui rencontrent comme une « matière de rêve » le paysage. Rousseau aurait-il aimé la photographie qui naît une quarantaine d’années après sa mort ? Aurait-il pratiqué cette forme d’écriture dans la Nature, en plein air, avec la lumière, dont Nicéphore Niepce fut le génial inventeur ?
Cheminant en pays rousseauiste avec sa chambre photographique, le photographe Daniel Challe s’est attaché au fil de ses promenades à dessiner un écheveau secret tissant une constellation géographique affective : celle qui relie les paysages du Val-de-Travers en Suisse aux sous-bois d’Ermenonville dans l’Oise, les massifs montagneux de la Chartreuse et du Valais aux vallons de Maubec, les miroitements des rivages des lacs alpins au jardin des Charmettes. Le regard fondateur de Rousseau sur le paysage est interrogé sur ses deux versants : esthétique à travers des réminiscences de la peinture française, éthique dans son questionnement très contemporain sur notre rapport à la Nature.
Dans le cadre d’une résidence d’artiste soutenue par Diaphane, pôle photographique en Picardie
Louisa Cock
Née en 1952. Originaire de Belgique et partagée entre Paris et Ostende.
Elle s’est très vite consacrée à la peinture et en a fait sa profession depuis 30 ans, après avoir fréquenté les Beaux-Arts de Bruxelles. Artiste confirmée, elle a déjà exposé de nombreuses fois à Paris, Martigny, Avignon, Prague, et a publié un livre en 2010.
Passionnée de musique, de cuisine.
Ses maîtres mots sont foi et générosité, indispensables pour réussir une peinture.
Site internet: http://www.louisacock.fr/
Elle s’est très vite consacrée à la peinture et en a fait sa profession depuis 30 ans, après avoir fréquenté les Beaux-Arts de Bruxelles. Artiste confirmée, elle a déjà exposé de nombreuses fois à Paris, Martigny, Avignon, Prague, et a publié un livre en 2010.
Passionnée de musique, de cuisine.
Ses maîtres mots sont foi et générosité, indispensables pour réussir une peinture.
Site internet: http://www.louisacock.fr/
MONTEPILLOY, par Louisa Cock, Atelier Ostende Avril 2015
Montépilloy je ne connais rien de toi que Quelques bribes à peine glanées dans ce monde Si virtuellement présent de notre temps Que puis-je faire sinon t’apprivoiser et te dire que sont Plombés de bleus tes cieux Montépilloy... Texte complet :
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POUR
OSTENDE, par Louisa Cock, Atelier Ostende Avril 2015
OSTENDE, UN ARBRE D’EAU ET DES ÉTOILES SUR LA TERRE Ostende Partout je voudrais t’habiter Dans tes tours tes immeubles sur la mer et ceux d’où on la devine Dans tes antres sous tes toits et tes demi sous-sol Et dans tes hôtels d’autrefois.... Texte complet :
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Alex Labejof
Sous la signature de JOF, on trouve des sculptures monumentales sur des places ou édifices publics à Chypre, Burkina-Faso, Italie, Corée du sud, Mexique, Dubaï, Lettonie, Turquie, Israël, Allemagne, Autriche, Finlande et France.
Alex Labejof marie le plus souvent pierre et métal en une étroite synthèse, proposant des contrastes forts de chaud et froid, pleins et vides, ombre et lumière, interpelant sur la nécessité de mettre à jour les différences pour prétendre à une éventuelle harmonie.
Site internet : http://www.sculpture-labejof.com/
Alex Labejof marie le plus souvent pierre et métal en une étroite synthèse, proposant des contrastes forts de chaud et froid, pleins et vides, ombre et lumière, interpelant sur la nécessité de mettre à jour les différences pour prétendre à une éventuelle harmonie.
Site internet : http://www.sculpture-labejof.com/
Patrick Noppe
Patrick Noppe est né en 1962 à Senlis (Oise) . Il suit des études artistiques à l'Ecole Supérieure des Arts Modernes (ESAM Paris).
A partir de 1984, à la suite de sa rencontre déterminante avec le peintre Jean Langlois, il s'oriente définitivement vers la peinture.
Puis suivront quatre années pendant lesquelles il se consacre à la décoration d'intérieur.
Depuis 1991 il enseigne les arts plastiques à de jeunes élèves de l'Institut St Dominique de Mortefontaine (60).
Au cours de l'année 2003 il prend la direction d'un cours pour adultes avec modèles.
Site internet : patricknoppe.perso.sfr.fr
Patrick Noppe : "Au tour du bain - Autour du bain"
5 panneaux verticaux de (H190 x L135) ... trouver le geste, l'énergie, la lumière, l'espace... questions à résoudre pour le peintre dans ce type de travail dont le but est de montrer que le problème se situe dans le coeur de la matière picturale elle-même |
Jean-Pierre Schneider
Formé à l’école des Beaux-Arts de Lille, Jean Pierre Schneider a longtemps exploré la peinture abstraite ou « sans sujet » comme il préfère le dire. Tal Coat, De Stael, Rothko sont les grands artistes qui l’inspirent. Riche de l’expérience et des acquis de l’art abstrait, Jean-Pierre Schneider renoue il y a quinze ans avec le sujet, élément qui « met en mouvement la peinture » sans prendre le dessus, sa préoccupation principale restant avant tout et toujours « le territoire de la peinture ».
Souvent de grand format, les tableaux de Jean Pierre Schneider se déclinent par séries qui explorent à travers un même sujet, différentes compositions plastiques. D’apparence monochrome, ses tableaux offrent une matière riche, mate et vibrante, dont la lumière naturelle révèle toute la subtilité. L’artiste superpose les couches de couleurs, la première réapparaissant à la surface là où l’artiste pratique des incisions dans la matière.
Fragile, délicat mais puissant, l’univers pictural de Jean Pierre Schneider fait volontiers appel à la littérature. Une citation en contrepoint du titre vient accompagner le tableau ou parfois même s’inscrire dans la peinture, constituant ainsi que la date, un deuxième motif dans la composition.
La sédimentation des couches de peinture s’oppose à la fulgurance du geste campant le motif ou incisant un signe, un mot, la date. Les formes esquissées, les bribes de phrase, l’aspect parfois volontairement inachevé laissent l’imagination circuler. L’œuvre de Jean Pierre Schneider s’offre ainsi comme des moments suspendus, des instants précieux d’équilibre et de poésie.
Expositions 2014-2015
Musée de l'Arsenal de Dreux
Galerie Berthet Aittouarès à Paris
Galerie Pome Turbil à Lyon
Souvent de grand format, les tableaux de Jean Pierre Schneider se déclinent par séries qui explorent à travers un même sujet, différentes compositions plastiques. D’apparence monochrome, ses tableaux offrent une matière riche, mate et vibrante, dont la lumière naturelle révèle toute la subtilité. L’artiste superpose les couches de couleurs, la première réapparaissant à la surface là où l’artiste pratique des incisions dans la matière.
Fragile, délicat mais puissant, l’univers pictural de Jean Pierre Schneider fait volontiers appel à la littérature. Une citation en contrepoint du titre vient accompagner le tableau ou parfois même s’inscrire dans la peinture, constituant ainsi que la date, un deuxième motif dans la composition.
La sédimentation des couches de peinture s’oppose à la fulgurance du geste campant le motif ou incisant un signe, un mot, la date. Les formes esquissées, les bribes de phrase, l’aspect parfois volontairement inachevé laissent l’imagination circuler. L’œuvre de Jean Pierre Schneider s’offre ainsi comme des moments suspendus, des instants précieux d’équilibre et de poésie.
Expositions 2014-2015
Musée de l'Arsenal de Dreux
Galerie Berthet Aittouarès à Paris
Galerie Pome Turbil à Lyon